Une crise de la raison, invasion
L’indifférence pollue la population
Nostalgie d’une illusion, le passé 
Perspectives archaïques de la société 
Racistes hallucinations démodées 
La régression vers des croyances atrophiées
Prisonniers des traditions, ligotés
Ils s’empêchent de percevoir la réalité

Il faut faire face à soi-même
Ne pas avoir peur d’avouer le problème 
Pensées et prières vides  
Dans un monde divisé par des paroles acides  
Apprendre des erreurs du passé 
Pour ne pas répéter les atrocités  
Recoudre les bris dans le tissu 
Nos voix unies vaincront le silence qui nous tue 

Avouer son inaction, dans nos bulles
Notre indifférence qui nourrit le recul 
Des échanges sous tensions, faut s’parler 
Briser les silos, nous faire évoluer 
Désarmer leurs inventions, leur enlever
Cet espace qu’ils abusent pour nous désinformer  
Vigilance et conviction, acharnés
Le prix à payer pour vivre en liberté 

Il faut faire face à soi-même
Ne pas avoir peur d’avouer le problème 
Pensées et prières vides  
Dans un monde divisé par des paroles acides  
Apprendre des erreurs du passé 
Pour ne pas répéter les atrocités  
Recoudre les bris dans le tissu 
Nos voix unies vaincront le silence qui nous tue 

Il faut faire face à soi-même
Ne pas avoir peur d’avouer le problème 
Pensées et prières vides  
Dans un monde divisé par des paroles acides  
Apprendre des erreurs du passé 
Pour ne pas répéter les atrocités  
Recoudre les bris dans le tissu 
Nos voix unies vaincront le silence qui nous tue 

Ne pas avoir peur d’avouer le problème 
Dans un monde divisé par des paroles acides 
Pour ne pas répéter les atrocités 
Nos voix unies vaincront le silence

Homme fort louangé
Maintien du pouvoir
Des miettes dosées
Les classes accessoires
Richesse détournée
La gloire de Césare
Carottes brandillées, tentation 
Du pain, des jeux
Des distractions, ouvrez les yeux

Tôt ou tard, Rome va tomber
La dissidence persévère
Tôt ou tard, Rome va brûler
Le privilège en poussière

Système calculé
Silence illusoire
Message matraqué
Qui expurge l’histoire
Accès contrôlé
Une tour d’ivoire
Les élites cajolées
Tirent les cordes avec passion
Du pain, des jeux,
Des distractions, ouvrez les yeux

Tôt ou tard, Rome va tomber
La dissidence persévère
Tôt ou tard, Rome va brûler
Le privilège en poussière

Tôt ou tard, Rome va tomber
La dissidence persévère
Tôt ou tard, Rome va brûler
Le privilège en poussière

Tôt ou tard, Rome va tomber
La dissidence persévère
Tôt ou tard, Rome va brûler
Le privilège en poussière

Sans boussole, sans assurances
Mon trajet test ma résilience
Je prend toujours la voie plus difficile
Et m’oppose à un monde hostile

Toujours accablé par l’ordinaire
Qui essaye en vain de me faire taire
J’échappe à l’indifférence
Quand j’évite la turbulence

Étendard haussé, quête obstinée
Faire tomber les murs des conventions
Féroce volonté, permanent guerrier
Au statu quo faire rébellion

C’est trop facile d’être défaitiste
Je préfère rester idéaliste
Malgré les appels à me conformer
Je réfute le choix d’abdiquer

Gardez vos conseils astucieux
Ils se heurtent à mon dos écailleux
Rien de me fera plier
Mes choix sont tous assumés

Étendard haussé, quête obstinée
Faire tomber les murs des conventions
Féroce volonté, permanent guerrier
Au statu quo faire rébellion

Faire tomber, tout changer, étrangler le banal
Célébrer, courtiser, ordonner l’anormal
Faire tomber, tout changer, étrangler le banal
Célébrer, courtiser, ordonner

Étendard haussé, quête obstinée
Faire tomber les murs des conventions
Féroce volonté, permanent guerrier
Au statu quo faire rébellion
Étendard haussé, quête obstinée
Faire tomber les murs des conventions
Féroce volonté, permanent guerrier
Au statu quo faire rébellion

Je sens faiblir les soudures qui retiennent la tornade déchaînée 
Ta colère carbure et mine ma naïveté
Tes larmes obscures dilluent les atomes de ma sanité 
En constante rupture,
mon coeur est au point de céder

Ton regard me paralyse, complice dans la tyrannie de ton fardeau
Je normalise le dommage de tes fléaux
Une Poussière acide
dissout et calcine le roman dans tes mots 
La peur qui oxyde
me soumet à ton étau

La romance dissone au rythme de la pluie

L’ouragan percute ma faiblesse et débalance la chimie 
La violence de ta flamme consume mon agonie

Le cauchemar se répète, prise dans les vents de ton envie

Je pardonne tes faiblesse, les fusionne dans une nouvelle nécessité 
Je boude la détresse et accepte ta toxicité
Ton absence perjure
et enfoui le danger dans tes fulminations
Une fraîche blessure bouillonne dans la confusion

La romance dissone au rythme de la pluie

L’ouragan percute ma faiblesse et débalance la chimie 
La violence de ta flamme consume mon agonie

Le cauchemar se répète, prise dans les vents de ton envie

Ma douleur me tranquillise, m’illumine dans le brouillard de l’instant 
Partie remise, mon refuge dans l’oeil du tourment

La romance dissone au rythme de la pluie

L’ouragan percute ma faiblesse et débalance la chimie 
La violence de ta flamme consume mon agonie

Le cauchemar se répète, prise dans les vents de ton envie

L’inquiétude et la détresse me conduisent vers la folie
Le sang glacé, figée, je suis paralysée
Des mains se resserrent sur mon cou
Retiens mon souffle, tombe à genou

Se lancer sans filet
Courir le risque du rejet
Mettre un baume sur un plaie
Me pardonner de mes méfaits

La solitude me ronge et sous les couvertures je plonge
Fixer les murs pendant des heures, frissonner de douleur
Mais pourquoi j’ai tellement de questions
Cherchant en vain une raison

Se lancer sans filet
Courir le risque du rejet
Mettre un baume sur un plaie
Me pardonner de mes méfaits

L’obsession de justifier ma perte
Remplir les détails manquants d’histoire infinie
La leçon à retenir me fera grandir mais certes,
J’y ai laissé un bout de mon âme et je me suis détruit
Ai-je vraiment réglé les histoires du passé
Cet obstacle me permettra-t-il d’avancer

Se lancer sans filet
Courir le risque du rejet
Mettre un baume sur un plaie
Me pardonner de mes méfaits

Je me lance sans filet
Pardonnes-moi tous mes méfaits
Méfaits
Méfaits
Méfaits
Méfaits

Il bât chaque seconde d’une forte ardeur
Il emmagasine toute la douleur
Il hésite sous l’emprise de la peur
Il aime ardemment et sans pudeur

Il a du courage, du dévouement
Il souffre de grand attachement
Il s’emporte au souffle du vent
Mais il pleure souvent

Poursuivre des chimères
Sentiments éphémères
Qui sombrent dans l’oubli
C’est impossible de voir
Immense est le brouillard
Et je suis envahie
Mon cœur est noir

Il s’est enlacé dans les ficelles
A manqué le pied, une étincelle
Il cherche cette flamme éternelle
Il ne peut pas vivre sans elle

Il veut rapiécier tous ses lambeaux
Se libérer de son fardeau
Il a espoir d’un monde si beau
Il ne veut pas être un fayot

Poursuivre des chimères
Sentiments éphémères
Qui sombrent dans l’oubli
C’est impossible de voir
Immense est le brouillard
Et je suis envahie
Mon cœur est noir

Poursuivre des chimères
Sentiments éphémères
Qui sombrent dans l’oubli
C’est impossible de voir
Immense est le brouillard
Et je suis envahie

Poursuivre des chimères
Sentiments éphémères
Qui sombrent dans l’oubli
C’est impossible de voir
Immense est le brouillard
Et je suis envahie
Mon cœur est noir

Levée du mauvais pied, mon calme est menacé
L’idée de confrontation crée la frayeur
Rapidement respirer, impulsion libérée
Mon instinct de combat prend feu dans mon coeur

Le brasier consume mes veines
Incinère toute sensation humaine
Mutation complétée, tu auras évoqué
L’animal

Attention à ton insolence
Tes actions portent sévères conséquences
Continues et tu apprendras
Oh, provoque-moi, la bête attaquera

La créature en rage est sortie de sa cage
Le captif réclame vengeance contre l’agresseur
Je te lance mes missiles, je comble l’état reptile
Bombardement ciblé poursuit ton malheur

Endiablée, mes senses me mènent
Dans l’abysse de mes passions malsaines
Prudence avant d’agir, ne fait pas ressortir
L’animal

Attention à ton insolence
Tes actions portent sévères conséquences
Continues et tu apprendras
Oh, provoque-moi, la bête attaquera

Laisser tomber
Arrêter les tourments
L’harmonie troublée
Entrave mon raisonnement
Arrêter mes tourments 
L’harmonie est troublée
L’animal

Attention à ton insolence
Tes actions portent sévères conséquences
Continues et tu apprendras
Oh, provoque-moi, la bête attaquera
Attention à ton insolence
Tes actions portent sévères conséquences
Continues et tu apprendras
Oh, provoque-moi, la bête attaquera

Le masque qui m’enveloppe
Te distrait de qui je suis
Quand la tension frappe à ma porte
Je lui ouvre et elle m’envahit

Le confort devient mon ennemi
Et tous mes sens abasourdis
Je suis revêtue d’insomnie
Chaque minute semble infinie

Je dois déployer mes ailes
Fuire mes pensées démentielles
Je dois déployer mes ailes
Déceler l’existentiel

Je vois mes mains qui tremblent
La tension me suis comme mon ombre
Chaque jour se ressemble
Je me retrouve dans la pénombre

Je dois déployer mes ailes
Fuire mes pensées démentielles
Je dois déployer mes ailes
Déceler l’existentiel

Sans regrets
Sans regrets
Sans regrets
Sans regrets

Je dois déployer mes ailes
Fuire mes pensées démentielles
Je dois déployer mes ailes
Déceler l’existentiel